« Est ce que l’on a des têtes d’affiche on vous le demande sans déconner… »
J’ai rien à dire aujourd’hui. Juste cette chanson dans ma tête qui m’entête.
C’était son anniversaire. Je lui simplement laissée un gâteau avec un petit mot devant sa porte. Pas de nouvelles depuis. Je sais que ce n’est pas forcement la grande. En revanche je ne sais pas ce que ça cache.
C’est difficile depuis cet été. Je ne sais pas si elle m’en veut pour un geste, mot déplacé ou si elle a pas la pêche. On a tendance à tout excuser, pardonner. Car au final ce n’est jamais le moment pour tout ça…
« Allez déballe sur le comptoir pour un peu on file une étoile,
On continue le tintamarre pour un petit bout de maroilles
Allez déballe vide ton sac, qu’on puisse le remplir d’ailleurs
De toute façon y’a une arnaque, en tout cas elle court la rumeur
Les chansons n’appartiennent qu’à ceux qui les laissent sans voyager
Pour qu’on puisse encore les chanter sans qu’elles aient encore besoin de bafier
Et tout le monde pourra les entendre si nos oreilles sont accrochées
Au cœur qui bat mesure du temps qui ne veux pas s’arrêter
On était des vrais aveugles avec les idees claires
Aujourd’hui impossible d’arrêter cette chanson
Mais impossible n’est pas français. »
C’était son anniversaire. Je lui simplement laissée un gâteau avec un petit mot devant sa porte. Pas de nouvelles depuis. Je sais que ce n’est pas forcement la grande. En revanche je ne sais pas ce que ça cache.
C’est difficile depuis cet été. Je ne sais pas si elle m’en veut pour un geste, mot déplacé ou si elle a pas la pêche. On a tendance à tout excuser, pardonner. Car au final ce n’est jamais le moment pour tout ça…
« Allez déballe sur le comptoir pour un peu on file une étoile,
On continue le tintamarre pour un petit bout de maroilles
Allez déballe vide ton sac, qu’on puisse le remplir d’ailleurs
De toute façon y’a une arnaque, en tout cas elle court la rumeur
Les chansons n’appartiennent qu’à ceux qui les laissent sans voyager
Pour qu’on puisse encore les chanter sans qu’elles aient encore besoin de bafier
Et tout le monde pourra les entendre si nos oreilles sont accrochées
Au cœur qui bat mesure du temps qui ne veux pas s’arrêter
On était des vrais aveugles avec les idees claires
Aujourd’hui impossible d’arrêter cette chanson
Mais impossible n’est pas français. »