Coup de gueule et chocolat.
Il faut savoir que j’adore passer des coups de gueule. J’appelle une des Deux et je leur balance ma hargne. Mais là où le coup de gueule a de l’intérêt c’est qu’il faut le faire avec ironie et dérision, et c’est comme ça que ces petits moments deviennent de grands moments avec les Deux. Parce qu’au final et en voyant les années passées y’a qu’elle pour les recevoir et qui sachent quoi répondre. Entre une qui en rajoute une couche (oui tu as raison les miroirs des cabines d’essayage sont horribles, mais tu sais ils paraît quand même qu’ils affinent la silhouette… ahhhh) et l’autre qui est encore plus horrible que moi (« non mais attend, tu as relu le message qu’elle t’a écrit, c’est pas tout à fait ce que tu me disais, c’est encore pire. Non tu rappelles pas et tu attends qu’elle le fasse. Tu verras tu seras super fière quand le téléphone sonnera et que tu apercevras sa photo clignoter »)
Un coup de gueule peut concerner n’importe quoi, tout dépend dans quel état nous sommes. Quelqu’un qui passe sans nous voir. Une pharmacienne qui nous demande si ces médocs sont pour nous ou pour nos enfants. Un enfant qui nous appelle madame (oui bon ok on a un problème avec notre âge !). Un de nos amis qui fait franchement chier le monde avec ses états d’âme à la con, une autre qui pète un boulon, une des deux qui ne répond pas au harcèlement téléphonique d’une autre…. Enfin j’en passe.
Finalement les coups de gueule c’est un peu comme du chocolat, ça fait un bien fou sur le moment (quelqu’un qui n’a pas avalé une tablette de choc ou un pot de nut’ en un temps record juste pour digérer sa salle journée, ne peut comprendre) et puis après… on le regrette…
On regrette les deux kilos qu’on vient de se prendre et la langue de vipère qu’on peut être. Parce que, bon il faut bien l’admettre au quotidien, on est des filles gentilles !
Sauf quand c’est une vieille grand-mère qui nous a balancé des insanités dans le bus...
Un coup de gueule peut concerner n’importe quoi, tout dépend dans quel état nous sommes. Quelqu’un qui passe sans nous voir. Une pharmacienne qui nous demande si ces médocs sont pour nous ou pour nos enfants. Un enfant qui nous appelle madame (oui bon ok on a un problème avec notre âge !). Un de nos amis qui fait franchement chier le monde avec ses états d’âme à la con, une autre qui pète un boulon, une des deux qui ne répond pas au harcèlement téléphonique d’une autre…. Enfin j’en passe.
Finalement les coups de gueule c’est un peu comme du chocolat, ça fait un bien fou sur le moment (quelqu’un qui n’a pas avalé une tablette de choc ou un pot de nut’ en un temps record juste pour digérer sa salle journée, ne peut comprendre) et puis après… on le regrette…
On regrette les deux kilos qu’on vient de se prendre et la langue de vipère qu’on peut être. Parce que, bon il faut bien l’admettre au quotidien, on est des filles gentilles !
Sauf quand c’est une vieille grand-mère qui nous a balancé des insanités dans le bus...